Eveiller les consciences - MEDITATION et Liberté Bouddhisme et Spiritualité

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Eveiller les consciences

Evolution

L'éveilleur de conscience qu'est le Bouddha, est la personne qui nous aide à nous révéler à nous-même. D'une conscience universelle, elle s'exprime à travers chaque humain par l'intermédiaire de sa conscience individuelle. La conscience est la capacité de se percevoir et de se comporter de manière adaptée. Par elle, nous est donnée la capacité d'agir sur nous-même pour nous transformer.

Le Bouddha est le seul instructeur spirituel qui ait demandé à ses disciples de ne pas le croire sur parole, mais de vérifier par eux-mêmes ses enseignements. Aussi le style de la pratique est-il expérimental et quasi scientifique. Sur ce chemin la raison et la logique sont des instruments précieux. Cela suppose, certes, l'abandon du rationalisme, mais nullement la culture de l'irrationnel. Le bouddhisme se définit comme la voie du milieu, à l'écart des extrêmes.

Le «Bouddha» a dit il y a 2600 ans
Vous ne devez pas croire aux traditions parce qu'elles ont été transmises depuis l'Antiquité, ni croire sur la simple autorité de vos maîtres ou instructeurs... Mais, vous pouvez mettre en pratique un écrit, une doctrine ou une affirmation lorsque la juste compréhension que vous en avez et votre expérience intime les confirment. Soyez à vous-même votre propre flambeau, votre propre refuge...

Si je ne pense pas par moi-même, l'humanité pense pour moi

Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde.  ~ Bouddha ~

Si nous ne pensons pas par nous-même c’est l’humanité – dans ce qu’elle a de moins évolué – qui pense pour nous. C’est ainsi que nous sommes victimes en croyant par exemple que ce qui est arrivé à un humain est susceptible de nous arriver ! Or, cela est faux et nous acceptons une croyance liée au passé qui ne concerne que l’individu qui l’a vécue. Seules nos croyances peuvent nous conditionner et nous pouvons en changer à chaque instant.
Cela veut dire que nous sommes impermanents, que nous ne sommes jamais les mêmes afin de nous adapter à nos concepts, à la manière dont nous gérons les informations qui nous assaillent à chaque instant. Les « stresses » lorsqu’ils sont bien gérés, nous permettent d’évoluer, de nous ouvrir à des idées nouvelles qui, en élargissant notre champ de conscience, nous rendent moins dépendants jusqu’à nous amener à être Roi dans notre royaume.
« Roi dans notre royaume ? » Si nous ne pensons pas par nous-mêmes, ce sont les autres qui pensent pour nous ! Ce qui signifie d’une part que si nous ne vivons pas en accord avec nos ressentis ou expériences individuelles (seules vérités à prendre en compte), nous abandonnons notre pouvoir aux autres, les croyant mieux informés. Nous nous laissons influencer, voire manipuler par les conditions extérieures et adoptions des comportements inadéquats.
 

ETAT PROVIDENCE... CAVERNE DE PLATON ???

" Le monde tout entier aspire à la liberté, et pourtant chaque créature est amoureuse de ses propres chaînes. Tel est le premier paradoxe et le nœud inextricable de notre nature ". ~ Sri Aurobindo ~

Aujourd’hui,
la caractéristique générale du citoyen, est la passivité dépendante, cultivé par un Etat Providence, qui fabrique un frustré revendicateur.
Proclamer que je suis responsable à 100% de mon état, est une médecine amère. Et je ne me présenterai pas aux élections avec un programme de ce type.
Néanmoins, je pense qu’il est indispensable d’affirmer cette vérité, pour le bonheur de tous les individus…

Un simple constat !
Tu ressembles à ces oiseaux qui, ayant longtemps vécu en cage, retournent à celle-ci, alors même qu’ils ont la possibilité de s’envoler dans l’espace.
Le ciel du changement t’apporte le vertige et une grande peur. Tu es habitué depuis si longtemps à tes imperfections, que tu as du mal à imaginer ce que serait la vie sans elles. Tu es en pleine illusion, et sache que la liberté arrive rarement sous la forme que l’on attend. Oui ! Tu es trop habitué à tes chaînes. Elles t’irritent, elles te blessent, mais au moins elles te sont familières.

Et si nous nous replacions dans la caverne de Platon ?


Et savez-vous ce que faisaient ces esclaves lorsqu’on leur rendait la liberté ?
  • Ils retournaient invariablement dans la caverne, car elle était devenue leur seule réalité.


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Des hommes sont enchaînés. Ne nous ressemblent-ils pas ? Ils n'ont jamais vu directement la lumière du jour. Nous voyons le monde intérieur ou extérieur, comme nous avons été conditionnés à le voir, comme on nous a appris qu’il fallait le voir, comme nous le craignons ou comme nous le désirons.
Donc, ils ne connaissent que le faible rayonnement qui parvient à pénétrer jusqu'à eux.
Sans la pratique, Bouddha nous dit que nous ne verrons  jamais " le monde", mais que nous ne verrons que " notre monde ".
Que l'un d'entre nous soit libéré de force de ses chaînes et soit accompagné vers la sortie, il sera d'abord cruellement ébloui par une lumière qu'il n'a pas l'habitude de supporter. Il souffrira de tous les changements. Il résistera et ne parviendra pas à percevoir ce que l'on veut lui montrer. Alors, ne voudra-t-il pas revenir à sa situation antérieure ?
Et Oui ! Le changement ça fait peur, les vieilles habitudes même si elles sont douloureuses sont familières, on les supporte mieux et on n’a pas envie de prendre le risque d’en changer.
Par contre, s'il persiste, il s'accoutumera. Il pourra voir le monde dans sa réalité. La caverne symbolise le monde sensible où les hommes vivent et pensent accéder à la vérité par leurs sens. Malheureusement, c’est l’imperfection de nos organes des sens qui nous fait percevoir le monde et l’univers à notre façon. Mais cette vie n’est qu'illusion.

Krishnamurti a fondé sa pensée que le changement de la société, ne pouvait que passer que par le bouleversement radical de l’individu. C’est en sorte, mourir à son vieux corps, afin d’accéder à une vraie liberté, que ni les religions, ni les idéologies de toutes sortes, ne sont capables de produire.

Simplifions-nous la vie, pour être en mesure de voir les choses clairement.  
Si je ne me connais pas moi-même, je ne connaitrais pas le monde. L'expérience de la souffrance est la même en Orient et en Occident. C’est cette ignorance qui est souffrance, et c’est la même pour tous les individus, et la voie qui mène à la fin de la souffrance se trouve dan le cœur de la conscience et non dans un lieu, une culture, une religion, une idéologie.
Le bonheur des autres devrait nous importer au moins autant que le nôtre. De la même manière, nous devrions formuler le souhait que tous les êtres sensibles, y compris nous-mêmes, puissent s’affranchir de la souffrance.

Je considère ma vie dans cette forme humaine comme une espèce de transition. Je ne suis pas vraiment d’ici. Mais je ne rejette pas non plus, le monde humain. Je souhaite m’éveiller à cette vie humaine et la comprendre.
Nous sommes tous identiques, ce qui est important c’est l’éveil et la volonté d’apprendre de la vie, peu importe ce que l’on a fait ou ce qui s’est passé. A tout moment chacun d’entre nous a cette possibilité d’éveil, quoi que nous ayons pu faire.

ET AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD !!... voici une petite vidéo d'une minute...

Ici, c'était sur le changement climatique... Mais comme l'ours polaire, c'est notre "intérieur" ou notre "conscience" qui va rétrécir, si nous ne voulons pas changer en profondeur.

  • Une petite introduction sur la lecture des prochaines pages du menu "Evolution".

VOICI UN LIVRE INSPIRE D'UNE EXPERIENCE REELLE

  • L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de cette toile. Quoi qu'il fasse à la toile, il le fait à lui-même. American Chief Seattle


  • Si vous prêtez attention au message, il vous pénétrera ! Vous savez, c'aurait pu être vous, le messager choisi pour cette marche dans le désert.... Nous faisons tous, un jour ou l'autre, l'expérience du désert intérieur, et elle nous permet d'élargir notre conscience. Marlo Morgan

Un best-seller dans le monde entier, un livre événement.
On les appelle le Peuple sauvage. Lorsque Marlo Morgan, Américaine tranquille, rencontre cette tribu d'aborigènes australiens, elle ne sait pas que sa vie va être bouleversée.
Adieu cartes de crédit, loyer, échéances !
Dépouillée de ses vêtements, déconnectée de sa culture, la «mutante» est propulsée, pieds nus, dans le bush australien. Au contact de ses étranges compagnons, entre la peur et l'émerveillement, elle va apprendre à remplacer les médicaments par les plantes, les jetons de téléphone par la télépathie, la psychologie par la communion avec les animaux.
Recevoir les dons généreux du hasard, devenir réel, entendre les messages de la nature auxquels nous sommes devenus sourds : tel est l'enseignement de ce récit insolite qui nous ouvre les portes d'une sagesse vieille de 50 000 ans. Écoutons battre, jaillies du désert, les pulsations d'une vie très ancienne : un monde de pureté nous est offert.

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